Léger mieux pour les crédits immobiliers et à la consommation

Écrit par La rédaction Meilleurtaux . Mis à jour le 20 mars 2015 .
Temps de lecture : 2 min

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Publié le vendredi 20 mars 2015 15:31 par la Rédaction Meilleurtaux

Le crédit immobilier et le crédit conso ont légèrement augmenté en ce début 2015 selon la Banque de France, la progression de 17,7 % de février ayant compensé le recul de 1,1 % de janvier. Le solde d’opinion pour la demande de prêt immobilier a également enregistré une forte hausse en février (+36,4 %).

Hausse des demandes encouragée par la baisse des taux

Le contraste par rapport à l’activité du crédit de l’année dernière est frappant. En effet, en 2014, les principaux établissements bancaires ont vu une appréciation du solde d’opinion concernant la demande de crédit immobilier sur seulement 2 mois, tandis que celui relatif à la consommation était descendu en novembre et décembre.

Les taux d’intérêt ont bien entendu contribué à ce regain d’activité. En baisse depuis le début de l’année 2014, les taux d’intérêt se sont stabilisés à des seuils inégalés pour les prêts sur 10 ans et 15 ans et poursuivent leur baisse chez certaines banques pour les prêts sur 20 ans et 25 ans, qui reculent de quelques centièmes de points supplémentaires.

Chez Meilleurtaux par exemple, au cours du dernier trimestre de 2014, les taux inférieurs à 2 % étaient réservés aux meilleurs dossiers ; en janvier et février, la plupart des emprunteurs en bénéficient sur 15 ans ou sur 20 ans.

La forte concurrence favorise les emprunteurs et encourage la demande

Dans ce contexte de taux de crédits immobiliers faibles, les établissements de prêt se livrent une concurrence pour attirer les clients.

D’une part, c’est un produit d’appel traditionnel ; de l’autre, les objectifs de production sont de 15 % supérieurs à ceux de 2014 pour la plupart des acteurs du secteur.

• Résultat, les barèmes sont en baisse, et les candidats à la propriété n’hésitent pas à négocier des décotes supplémentaires.

Certains profils très recherchés par les banques sont particulièrement soignés, comme les jeunes primo-accédants à fort potentiel selon leur métier et leurs perspectives d’évolutions salariales.

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